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La CHANSON d’ORGUEIL et de VANITÉ.

Mon, ton, son, notre, votre, leur,
C’est la chanson d’orgueil et de vanité,
Quand le corps et son être dorment, ils oublient la chanson d’adjectifs possessifs,
La langue Héna appelle cet état: NWON’NWO, être en jeûne des pouvoirs intellectuels et physiques de ce monde du peuple humain.
Et le corps est dans son lit,
Il espère en attente du souffle décisif,
il ronfle,
et de tous ces orifices l’eau et le vent coulent.
En langue Héna, le corps est appelé, KOU, le mortel, et sa résidence, la terre est: KOUDOUKÔ, traduit: l’univers du mortel.
Cependant l’être au corps,
Sans passeport ni visa, traverse les frontières comme l’air parcourt le monde.
La langue Héna nomme cette mode de voyage à travers la terre, YALA, traduit: l’expérience de l’être et son pouvoir génial de voyager libre à travers le temps.
Quand il en revient, langue héna: HÂ GÔLOHÔ vient de: HÂ GÔLOHÔ MÉKÔ, ne signifie pas Bonjour, mais traduit: nous sommes debout, nous sommes aussi ressuscités d’entre les morts. C’est l’expression de se retrouver et de réjouissance. Dans ce monde du soleil et de la nuit le souffle au corps reprend son service.
La langue Héna dit de ce moment d’activités: HGOH ZOKAÛ KBAKBÉYÈ, traduit: l’être au corps s’approprie de nouveau toutes ses fonctions.
NB: on peut se demander:
a)- qu’est ce que dort dans son livre, inconscient?
b)- et qu’est ce qui rêve, et qui revient conter son rêv heureux, malheureusement, le corps réveillé?
c)- oh freres mortels où est donc la réalité dans ce monde du soleil et de la nuit?
La langue Héna nomme cette mode de voyage à travers la terre, YALA, l’expérience de l’être, la pouvoir du génie de partir libre travers le temps.
Quand il en revient. Ce moment de retour en langue héna est appelé: GÔLOHÔ, dieu l’a appelé, levé, ressuscité, etc,. Il en vient souvent aux dire: HÂ GÔLOHÔ = HÂ GÔLOHÔ MÉKÔ, ne signifie pas Bonjour, mais traduit: nous sommes debout, nous sommes aussi ressuscités d’entre aux abonnés absents de ce monde du soleil et de la nuit. Et c’est la joie de revivre parmi les nôtres. Les non ressuscités et qui sont déclarés morts. De ceux-ci, la langue Héna dit: HÔ KOU, vient de: HÔ KOU KÔ, traduit: il n’est pas dans le corps. On peut se demander qui ou quoi n’est pas dans le corps. C’est l’être humain au corps qui n’y est pas. C’est le moi-même. Et le corps sans sa respiration, est présent, intact, parmi ses possessions. Et le corps est enterré pour dissiper sa puanteur. L’être au corps qui lui conférait une vie digne de foi et d’amour n’est plus disponible sur la terre des êtres vivants, Pourtant il continue de vivre en rêve.
Celui de retour des rêves ou réveil, est heureux, malheureusement. Car il retrouve à nouveau le quotidien des adjectifs possessifs.

NB: on ne peut jamais se justifier d’enterrer un corps vivant. C’est un risque de poursuite par la gendarmerie ou la police et la justice.

Dd. GOBLÉ LÉGOU
HÉNALOGUE des LANGUES INCARNÉES
ACADÉMIE de la LANGUE HÉNA.

 

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