Art & Culture

DEYIMA ET LE LIEU SACRÉ DJILI

La Côte d’Ivoire doit, pour se sortir du trou, consulter tous ces lieux sacrés, ces cieux approuvés par Dieu.
Car comme Dieu et le peuple, ils étaient au commencement. Houphouët qui le savait parfaitement, avait réussi à créer un consensus entre toutes les dialectiques fondamentales et vitales de la Côte d’Ivoire, en association de leurs dignes représentants appelés les @Wan.

Parmi eux, Qwhonnon Hio Baguey, auteure spirituelle de L’Hymne National, L’Abidjanaise, de la devise ivoirienne et de bien d’autres institutions républicaines.
Au moment où la Côte d’Ivoire se trouve dans un abime sans fin, il est primordial d’aller vers ses guérisseurs oubliés, méprisés et persécutés.

Le Temps des prophètes.
DEYHIMA ET LE LIEU SACRÉ DJILI

En attendant que nous mettoons nos pas dans les pas de notre ancien HAYISSA HOZALÉ pour retrouver des messages alphabétiques qui nous sont réservés dans ce lieu sacré avec les fils bien préparés et attentionnés aux sciences techniques et spirituelles, j’utilise en espérant ce grand jour de découverte, les alphabets de la langue française pour écrire mes textes.

Je ferai pareil en ce moment si j’avais  si j’avais été initié aux langues asiatiques.

-A-

En attendant que nous mettons nos pas dans les pas de notre Ancien HAYISSA HOZALE pour retrouver les messages alphabétiques qui nous sont réservés dans ce lieu sacré avec les fils bien préparés et attentionnés aux sciences techniques et spirituelles, j’utilise en [……………] espérant ce grand jour de découverte, les alphabets de la langue française pour écrire mes textes

Je ferais pareil en ce moment si j’avais initié aux ceux du peuple asiatique.

L’écriture est l’image de la langue parlée l’Eternel a donné le secret à chaque peuple autochtone. Cette évidence est cachée dans son dos. Comme la lumière de la lampe torche vient de derrière.

La langue (héna) est formée de plus de lettres alphabétiques qui ne sont pas contenues dans celles des 26 françaises. Ce […………] qui permet d’écrire : Boli, Honnon, Goué, Koua, etc…

Et qui dénature leurs traductions. Car chaque nom ou chaque mot est un message codé.

La langue parlée d’un peuple est son « sous ». Tant que cette racine n’est pas développée. Celu-ci ne peut pas parler de son « sous développé ». Par conséquent le développement de ce peuple ne peut jamais se réaliser par son « propre sous » de la « lumière ».

Le peuple AFRICAIN doit en tenir compte pour parler du sous-développement ;

Sachons qu’un peuple n’est jamais intellectuel à travers la langue de l’autre.

De par autrui, celui-ci est assujetti.

Il est dominé en pensée, en parole et en action. Car il est devenu le peuple du savoir de son instructeur. Et il raisonne en fonction de la dictée du dominateur. Ainsi le peuple Africain est fait […….] ingénieur des techniques scientifiques et spirituelles sans […………………] être des génies de par son propre source.

Il y a alors la malveillance de l’Africain envers les siens de la façon coloniale. Un génie doté des sciences et instruit de son savoir, doit produire le bien-être du peuple tel le réalise l’environnement.

La bible du christianisme donne des preuves :

-un génie du nom jésus christ a utilisé son pouvoir pour nourrir des affamés. C’est cela la vérité.

Il a sacrifié sa vie pour sauver du monde. Comme le définit l’environnement. Il n’a pas été le génie destructeur. Pourtant il avait la grandeur de détruire. L’Africain détruit l’Afrique. Il suit la trace du colonisateur. Dans sa tête il est le colon de l’Afrique.

Il est dit : « l’homme est dait à l’image de DIEU » ou bien « l’homme est DIEU ».

Il est donc anormal de faire du mal à l’homme. Quiconque le fait à DIEU.

L’Afrique de son parti dont elle n’est responsable, doit retourner à sa source pour mieux sortir de son « sous-developpé » pour se développer.

Et cela passe par la compréhension de sa propre « langue »

J’invite le peuple Africain à l’initiativr sur la trace de « Déyimaé. La réalité l’y attend.

A bon entendeur salut

-I-

La langue est la chaine ou l’échelle par laquelle un peuple vient sur la terre (dôdô). Et c’est à travers celle-ci qu’il doit exercer son pouvoir technique scientifique et spirituel. Aucune langue parlée par des peuples n’a pas été achetée. C’est un don de l’Eternel. C’est l’héritage, le trésor originel et authentique d’un peuple. Celui-ci a donc le devoir de la préserver, de l’entretenir. Car son moyen de communication le plus efficace qui garantit son bien-être dans son existence vitale socio-économique et culturelle. C’est cela il est sagement dit : « ô Seigneur, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel, »

Il est normal que les êtres humains sachent qu’ils sont nés sur la terre. Ils y vivent. Et un jour ils mourront de là. C’est la preuve qu’ils savent : « ils viennent de la lumière. Et quand ils mourront. Ils retourneront à la lumière » (djélé)

La Lumière éclaire.

Dieu est lumière.

L’homme est Dieu.

Il est fait à son image.

Quiconque tue l’homme tue Dieu.

Dieu est amour

Par conséquent l’homme dieu doit être AMOUR.

De ce fait il dit : « que l’homme vient de l’amour. Et quand il mourra. Il retournera à l’amour. »

L’éternel est la parole. Dans sa bonté, l’Eternel par celle-ci dit aux êtres humains ; « sur la terre parlez-vous de la paix. » Car les humains disposent de tout le bonheur que le SEIGNEUR leur a proposé. L’ETERNEL est bon. Et c’est dans les mots de la parole bien bienveillante de l’Eternel que se cache la paix et le bonheur éternels. Il faut simplement démystifier les mots de la parole. Enfin de mieux interpréter les signes visibles et invisibles qui forment l’environnement. Ce qui peut permettre aux peuples de très parfaitement communier et communiquer avec le créateur.

La langue parlée est appelée en langue (héna) : (hâlo kôweuli) qui traduit « la langue dans laquelle nous sommes nés, nous sommes où nous existons »

Dans ce livre j’appelle la langue (HENA), l’ensemble des dialectes, des patois, des langues vernaculaires du groupe (KROU), et de tous ceux qui disent (HENA) avant de parler.

Le mot (HENA) signifie : « je dis ou bien voici mon raisonnement par lequel j’ai la vérité ». Etc…

Comment un peuple qui ne comprend pas sa propre langue dans laquelle il est né. Peut-il se réaliser ? Et surtout que c’est elle qui définit son existence vitale dans ce monde où il esr sensé savoir que le créateur a créé chaque chose unique. Et chaque unique créateur a plusieurs appellations. Cela démontre que chaque langue parlée des peuples a un message particulier dans son livre et qui détermine son comportement.

NB : – Une langue est le « livre divin » que l’Eternel a offert à un peuple. Et qui renferme les « mots codé » de la parole.

C’est pour cela une tribu, un peuple ou une nation qui ignore l’étymologie des mots de sa propre langue paternelle ne peut pas évoluer à travers ses propres sources scientifiques et spirituelles. Par

Conséquent ce peuple ne peut pas identifier le « savoir » qui vient de l’extérieur. Et qu’il doit intégrer dans son existence vitale. Et qui peut faire son bonheur.

-2-

Le seul moyen qui réveille la conscience intelligente et intellectuelle d’un peuple est la « TECHINQUE du DECODAGE » qui consiste à tirer la clairvoyance des mots de la parole. Car un mot est égal à un comportement qualitatif. C’est partir de ça l’Eternel élève son peuple. En sachant cela le président Houphouët Boigny a dit à son peuple : « la paix n’est pas un vain mot. Mais c’est un comportement » C’est grâce à cette technique de décodage » que je parle des « lieux sacrés » où nos anciens allaient pratiquer des cultes religieux à l’Eternel avant les arrivées des évènements du christianisme, de l’islam et des autres religions.

Dans la langue (héna) ces lieux sont appelés (djélé ou djili) ou par d’autres noms des autres peuples. Car ces « endroits sacrés » sont partout dans le monde. Ces lieux si particuliers que les mains des êtres humains n’ont pas construits et qui font partie de notre environnement. Ils sont nos patrimoines comme l’est notre langue parlée. L’histoire des peuples est rattachée à ces « lieux » partout sur cette planète-terre des êtres humains. Nos récits ou nos contes sont liés à ces lieux. Nos existences vitales dépendent de ces lieux.

A) – LE peuple KRU

Dit : (djili hâ bô), « nous venons du suprême qui rayonne »

(né hâka kou), « et quand nous mourons »

(djili hâ mé), « nous retournons à la au suprême brille »

B) – Le peuple BAOULE

Dit : (n’ba amoui hi brô), « je viens de cette forêt sacrée »

(ké ma hou), « quand mourrai »

(hé sans sine amoui brô), « je retournerai au lieu sacré »

(lo yè n’fil), « c’est de la que je viens »

(n’san si lô), « c’est là je retournerai ».

C) – LE peuple ABBEY

Dit : (m épié hô fo anhoum), « je viens de la maison de l’Eternel »

(méro non), « et quand je mourrai »

(mé,é yi gbô), » je retournerai là-bas ».

D) – LE peuple BAMBARA

Dit : (han bora anka djoo hâ kasso), « je viens de la maison de l’Eternel.

(nasara), « et quand je mourrai »

(an bê séko anka djoo ka kasso), « je retournerai à la maison de l’Eternel »

E) – LE peuple BENINOIS

Dit : (fidé ha gossion), « d’où je viens »

(fidé djin ha nan), « c’est au même endroit que je retourne ».

F) – LE peuple FRANÇAIS

Dit : « nous venons de la lumière »

« Et quand nous mourrons »

« Nous retournons à la lumière ».

-3-

G) – LE peuple CONGOLAIS

dit : (na houti hé sika y a hé pakolami), « je viens du lieu saint »

(tango na kokoufa), « et quand je mourrai »

(na n’zogan na hé pakolami), « je retournerai au lieu saint ».

NB – Ce territoite où règne la « lumière suprême », est la source originelle de tous les êtres, y compris les humains. Ce peuple humain sait que la lumière domestique vient des centrales électriques. Qu’elles soient : – nucléaires, éoliennes, hydrauliques, etc…

De savoir il ne doit pas se poser la question d’où il vient. Il doit être sensé comprendre que sa demeure originelle est ce « lieu très parfaitement sacré ». Et d’où émane le « POUVOIR ETERNEL » qui règne sur la terre comme au ciel. Et dont il est le descendant. C’est pour cela cette demeure est appelée :

– En langue FRANÇAISE : « le lieu sacré »

– En langue SAMBARA : « la maison du seigneur », (an ka djoo ha kasso)

– En langue ABBEY : « la maison du seigneur », (hofo an houn)

– En langue BENINOISE : « le lieu de la lumièr », (lè ko yi)

– En langue (héna) CÔTE D’IVOIRE : « le jour ou bien la lumière », (djélé) « la lumière suprême », (djili) « la source des sciences-lumière », (sou-lou djélé)

– En langue CONGOLAISE : « réjouis-toi de ce « lieu » dont dépend ta protection, ton élévation, ta grandeur, etc… « Pakolami »

Comme la parole a toujours été témoin de tous les évènements de la création, elle rappelle que : « nous venons de ce « lieu de la lumière et de la science »

Ceci étant dit, le peuple humain ne peut pas nier cette réalité immuable.

La quatrième génération de ce millénaire de mon peuple sait cela, consciencieusement. Sauf ces descendants ignorent cette évidence originelle. Car les parents s’en sont détachés pour ne pas être traités d’athées, de diables, de démons, de satans, de non-croyants à l’Eternel, notre père. Il a abandonné son « lien religieux avec l’Eternel. Et il a opté pour la croyance venue d’ailleurs et qui le submerge.

Depuis que celle-ci l’a assujettie dès l’esclavage de ses précédents arrières grands-parents. Il est sagement dit : « pour mieux sauter, il faut reculer ». Au commencement des langues parlées, pendant que :

Le peuple français appelait le créateur « DIEU »

Le peuple anglais le désignait « GOD »

Le peuple Arabe le nommait « ALLAH »

Le peuple Israël l’évoquait « YAWE »

Le peuple ivoirien l’implorait « LAGO, HOFO, GNAMIEN, GNASOHA,etc… » et par d’autres noms des autres peuples asiatiques, africains, etc….

C’est ce créateur universel de tous les êtres humains qui a ordonné les peuples à l’adorer dans son rpyaume d’où ils sont originaires avec les mêmes pouvoir mais de manière différente et à le réaliser. C’est ce qui est appelé « la diversité culturelle ». Par celle-ci le SEIGNEUR de la terre se lie à ses différents peuples de ses « lieux sacrés ». C’est de ces « ANCIENS TEMPLES de l’ETERNEL » que les peuples communiaient et communiquaient avec « LUI ». Et ils avaient leur temps, leur dignité.
A suivre,

Dd. GOKBLEU LÉGOU
HÉNALOGUE DES LANGUES INCARNÉES
CONFÉRENCIER INTERNATIONAL.

 

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